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Communiqué de presse

Session de novembre du Grand Conseil : sécurité, Covid et écriture “inclusive”

Session Parlementaire du mois de novembre 2021

Le thème de la sécurité complètement déserté par tous les autres partis en dehors de l’UDC !

Lors du traitement des interpellations mercredi matin 3 novembre 2021 au Grand Conseil, l’UDC avait demandé l’urgence au sujet de son interpellation concernant les récents braquages à main armée aux guichets TransN et CFF de La Chaux-de-Fonds. Pour rappel, ces deux guichets ont été braqués à moins de 3 semaines d’intervalles, en pleine journée. Parallèlement à cela, l’augmentation de la criminalité et la Une occupée par les guerres de « gangs » en partie issue de la Métropole Horlogère (et qui ont notamment fait récemment un mort sur Lausanne !) sont également des faits inquiétants qui nécessitent une réponse immédiate. Toutefois, en dehors de l’UDC, aucun parti n’a considéré ces questions comme prioritaires, refusant unanimement le traitement urgent de l’interpellation ! Attendons-nous que d’autres endroits se fassent braquer ? Attendons-nous peut-être un drame dans ce contexte pour réagir ? Cette absence de réactivité de la part du Conseil d’Etat et des autres partis (PLR, PS, Verts, POP et Vert-libéraux) est tout bonnement sidérante. Si la situation s’envenime, ils devront répondre de leur passivité ! L’UDC continue d’être le seul parti neuchâtelois à proposer des mesures concrètes et immédiates pour endiguer la criminalité croissante dans nos rues !

Curieuse schizophrénie du PLR concernant les mesures Covid

L’UDC a joint sa voix à la quasi-totalité du Parlement, approuvant le traitement urgent d’une interpellation très pertinente émanent du groupe PLR concernant la suite à donner aux mesures Covid. A l’écoute du développement de l’interpellation réalisé par le Député PLR Blaise Courvoisier, nous étions (agréablement) surpris d’entendre une série d’arguments clairement identiques à ceux formulés par l’UDC neuchâteloise et l’UDC Suisse, qui demandent notamment un « plan de sortie clair » de la crise Covid de la part des autorités et de mettre un terme à la « vaccination forcée » induite par le train de mesures en place (le certificat Covid est en ligne de mire de cette interpellation, même si pas clairement évoqué). Il est toutefois curieux d’entendre le PLR faire preuve d’un tel bon sens dans l’hémicycle, lui qui pourtant soutien clairement la loi Covid-19 et donc le maintien « ad-aeternam » du certificat Covid obligatoire… Espérons que cette « crise de schizophrénie » passagère du PLR se solde vers une confirmation unanime dans les urnes du bon sens exprimé dans l’hémicycle plutôt que vers le mot d’ordre antilibéral en faveur de la loi Covid-19… L’UDC réitère son opposition franche à la loi Covid-19 extrême, antilibérale et liberticide le 28 novembre 2021 et exige un retour rapide à la normale, ce alors que 67% de la population Suisse est vaccinée (et 75% a reçu au moins une dose) et plus de 70% de la population neuchâteloise est vaccinée (à cela s’ajoutent encore les personnes immunisées par la guérison). (source : Virginie Masserey, pour l’OFSP, conférence de presse du 2 novembre 2021)

Ecriture « inclusive » au sein de l’administration cantonale : seule l’UDC et quelques courageux PLR isolés défendent réellement l’intégrité de la langue française

L’UDC a tenté, en vain, de bannir l’écriture dite « inclusive » de l’administration cantonale par le biais d’une recommandation au demeurant calquée sur la démarche à succès de l’UDC valaisanne il y a quelques mois. L’écriture dite « inclusive » est en effet une dénaturation de notre langue, une complexification indésirable à l’égard des personnes en difficulté de lecture et celles dont le français n’est pas la langue maternelle. Notre groupe n’a pas caché sa surprise suite à la prise de parole de la Conseillère d’Etat socialiste Florence Nater, qui s’est clairement fendue d’un propos suggérant que le Conseil d’Etat serait plus légitime que l’Académie française pour déterminer ce qui est linguistiquement juste. A l’heure où certains ajustements doivent encore être réalisés en termes d’égalités des droits mais aussi des devoirs entre les hommes et les femmes, l’UDC est convaincue que cette cause ne se résume pas à un vulgaire point médian. Hélas, la majorité de gauche rose-verte du Parlement a rejeté notre recommandation, l’immense majorité du PLR s’étant abstenue, l’UDC s’étant de fait retrouvée seule (+ quelques courageux PLR isolés) garante de l’intégrité de la Langue de Molière.

Dimanches sans voiture : fronde de la gauche contre les automobilistes et les populations rurales et des agglomérations

La majorité de gauche rose-verte du Parlement a une fois encore approuvé un postulat à la faveur exclusive des citadins, demandant l’introduction (ou la réintroduction) des « dimanches sans voiture ». En clair, nombre d’espaces dans les villes et certaines localités seraient, un dimanche par an, complètement fermés aux véhicules motorisés. Cette démarche est contre-productive puisqu’elle exclut, de fait, toutes les personnes de notre canton qui n’ont pas d’autre choix que de se déplacer avec leur véhicule privé, poussant notamment des familles à se rendre ailleurs pour leurs loisirs, anéantissant de fait l’objectif de diminution des émissions de CO2. Nous privons aussi certaines personnes de la possibilité d’aller voir leurs proches dans les EMS ou encore certains travailleurs du dimanche (artisans, agriculteurs, etc.) de pouvoir exercer convenablement leurs professions. La politique anti-automobilistes de gauche rose-verte est véritablement centrée sur les intérêts exclusifs des citadins, discriminant ainsi les populations rurales et des agglomérations. L’UDC est opposée à cette vision réductrice et élitiste et se bat pour des projets qui ne laissent personne sur le banc de touche.

Le groupe des Députés UDC au Grand Conseil

Niels Rosselet-Christ, Député et président du groupe parlementaire UDC
Arnaud Durini, Député et vice-président du groupe parlementaire UDC
Grégoire Cario, Député et président de l’UDC neuchâteloise
Roxann Durini, Députée
Christiane Barbey-Weber, Députée
Estelle Matthey-Junod, Députée
Quentin Geiser, Député
Daniel Berger, Député
Lionel Martin, Député suppléant et vice-président de l’UDC neuchâteloise
Evan Finger, Député suppléant et président des Jeunes UDC neuchâtelois

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