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Pas la fin de l'immigration

28/9/2020

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La prospérité de l'économie neuchâteloise est étroitement liée à la bonne marche de nombreuses entreprises actives dans les domaines de la microtechnique ou de l'industrie biomédicale. Elles ont besoin de personnel avec des compétences de haut niveau ou spécifiques. Il n'est pas toujours facile pour les patrons de trouver ce personnel en Suisse ou dans le canton. "Nous ne pourrons recruter des professionnels" entend-t-on dans le débat autour de l'initiative de limitation UDC. 
C'est FAUX, car, comme c'était déjà le cas avant la libre circulation des personnes, ces entreprises pourront engager sans complication particulière le personnel étranger dont elles ont besoin. L'UDC veut une économie prospère avec le personnel qualifié nécessaire et non pas une immigration dont 80% des personnes ne sont pas spécialement qualifiées, mais simplement une main d'oeuvre bon marché.
 
UDC Neuchâtel
Walter Willener, président ​
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Initiative de limitation : stop aux mensonges de la gauche

28/9/2020

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Que de mensonges pouvons-nous lire dans les journaux ces dernières semaines au sujet de l'initiative UDC de limitation (que les opposants se voient obligés de renommer - par crainte des faits, peut-être...). Il est grand temps de remettre l'Eglise au milieu du village et de se concentrer sur les faits, les tenants et aboutissants concrets de cette initiative : 

SUR QUOI VOTE-T-ON EXACTEMENT ? 
Le texte de l'initiative est très clair : en cas de "oui" à l'initiative, il est confié au Conseil fédéral un mandat de renégociation de l'accord sur la libre circulation des personnes, avec pour condition impérative que la gestion de l'immigration en Suisse - à ce jour aux mains de l'UE - soit exclusivement du ressort de la Confédération Suisse. Si la renégociation échoue, au terme de 12 mois, l'accord est résilié.

QUELLES CONSEQUENCES D'UN ECHEC DES RENEGOCIATIONS DE l'ACCORD SUR LA LIBRE CIRCULATION ?
La Suisse retrouve dans tous les cas son autonomie en matière de gestion de l'immigration sur son territoire. La seule "clause guillotine" que peut activer l'Europe en ce cas concerne exclusivement les 6 accords du paquet Bilatérales 1, accords  qui ne profitent exclusivement qu'à l'Union Européenne (ex. accord sur les transports terrestres). L'intégralité des autres accords régissant les rapports Suisse - UE (+ de 600) ne seront en rien impactés (toute action contraire serait une violation pure et simple du droit international).

QUID DE LA PROTECTION DES SALAIRES ET DES EMPLOIS ?
Contrairement aux mensonges qui circulent, la libre circulation est belle et bien responsable de la baisse du niveau de vie de nos concitoyennes et de nos concitoyens, de la pression sur les salaires et de l'augmentation du chômage. La libre circulation permet aux entreprises d'engager de la main d'oeuvre étrangère sans aucune limite, la plupart du temps à des salaires bien moins élevés ; dans les faits, seul un cinquième de la main d'oeuvre étrangère employée en Suisse est réellement indispensable (comprenez : qui pallie à un manque de main d'oeuvre locale qualifiée). A plus forte raison, depuis la libre circulation, le nombre de frontaliers a également doublé; en conséquence, notre canton est le 1er créateur d'emploi du pays (au pro-rata de sa population) mais est aussi celui où le taux de chômage y est le plus élevé (y compris en période pré-COVID). Que l'on soit toutefois rassuré : la fin de la libre circulation ne signifie aucunement la fermeture des frontières et la main d'oeuvre qualifiée réellement nécessaire à certains secteurs d'activités en Suisse sera toujours la bienvenue dans notre pays.

ET POUR NOS EXPORTATION ? 
Oui, la Suisse est un pays qui exporte et l'Europe est un de nos principaux partenaires (bien que cette tendance soit en baisse continue, au profit d'autres grandes puissances dans le monde). Mais les règles du jeu ne sont pas exclusivement dictées par les accords bilatéraux. En cas de "oui" à l'initiative - et même en cas de résiliation des bilatérales 1 par l'UE - nos exportations continueront, ce pour une raison très simple : l'UE et la Suisse sont toutes deux membres de l'OMC et leurs rapports commerciaux sont avant tout régis par un accord commercial datant de 1972, qui, entre autres modalités, interdit à chaque partie d'exercer des blocus ou des barrières commerciales contrevenant aux règles impératives de l'OMC. En clair, le chantage affirmant qu'en cas de "oui" cela serait la mort de nos exportations est tout simplement un mensonge. 

A QUI PROFITE RELLEMENT LA LIBRE CIRCULATION ?
Entre la gauche, pour qui l'abolition des frontières, de la propriété, de l'identité nationale et de tout ce qui fait les racines de notre société et la droite économique ultra-libérale dont les milieux économiques grossissent leurs marges via l'emploi croissant d'une main d'oeuvre bon marché, ce ne sont pas les prétendants qui manquent. Mais toute cette démesurée ouverture se fait pourtant bel et bien sur le dos du peuple, qui subit de plein fouet les effets nocifs de cette mondialisation à outrance. La Suisse est prospère mais le peuple suisse l'est de moins en moins. 

Un OUI à l'initiative de limitation permettra donc de mettre un terme à ces excès et à retrouver le sens de la mesure, des rapports mutuels sains entre notre pays et nos voisins et surtout, que le fruit de la prospérité helvétique profite enfin pleinement et prioritairement à celles et ceux qui le créent, à savoir, la population suisse.

Pour nos emplois, pour notre prospérité et pour notre pérennité, 
OUI à l'initiative de limitation le 27 septembre 2020
 
UDC Val-de-Travers
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Droit de vote à 16 ans à Neuchâtel : ou quand la gauche se cherche désespérément des électeurs

22/1/2020

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En dehors du petit sursaut écologique et circonstanciel de cette année, la gauche « traditionnelle » est en perte de vitesse globale ; son électorat traditionnel s’effrite, ses scores stagnes voire régressent… les enjeux ont changé, les buts ont changés. Dès lors, il lui faut de nouveaux soutiens. Après avoir ouvert le vote aux étrangers disposant d’un permis C au niveau communal et cantonal ainsi que l’éligibilité au niveau communal, voilà qu’elle souhaite étendre le droit de vote aux jeunes de 16 ans, avec la particularité que ce droit serait « sur demande ».  Qu’est-ce que c’est ?
 
En clair, les jeunes de 16 ans révolus (suisses et permis C) pourraient, dans le canton de Neuchâtel, disposer du droit de vote sur les objets qu’ils le souhaitent, s’ils en font la demande. Cette proposition pose passablement de problèmes et voici pourquoi :
 
A 16 ans, certes, une certaine conscience politique peut commencer à se former. Toutefois, nous sommes loin d’être pleinement au fait des tenants et aboutissants de la réalité politique qui nous entoure ; à peine sortis de l’école obligatoire, encore en formation, en étude ou en apprentissage, pas encore de réel ancrage dans la vie active… comment peut-on espérer une objectivité optimale en de telles conditions ? A cela s’ajoute par ailleurs l’influence du cercle scolaire, au sein duquel les professeurs (à très grande majorité de gauche) peuvent aisément influencer la conscience politique de leurs élèves.
 
A 16 ans, l’on n’est légalement pas en droit de signer un contrat, pas plus que nous ne sommes responsables devant la loi au même titre qu’un adulte (c’est encore le droit des mineurs qui s’applique). Avec cette proposition de droit de vote sur mesure, nous aurions donc des jeunes de 16 ans libres de signer une carte de vote et de se prononcer par eux-mêmes sur des objets tels que la sécurité cantonale, la fiscalité ou toute sorte de modification Constitutionnelle mais qui devraient impérativement être accompagnés d’un adulte pour conclure un contrat d’abonnement téléphonique ou l’achat d’un scooter…  cela est-il cohérent ? Non.
 
Que l’on se comprenne bien : encourager les jeunes à développer leur conscience politique et leur intérêt pour la fonction est une bonne chose. Les sections jeunes, en cela, accomplissent un excellent travail d’intégration et cela doit être absolument soutenu. Toutefois, il ne faut pas vouloir précipiter les choses. Le droit de vote s’acquiert traditionnellement à la majorité, c’est-à-dire à 18 ans, en même temps que le passage de l’enfance à l’adulte au regard du droit. S’acharner à toujours vouloir tout rendre possible plus tôt n’est pas forcément profitable ni pour la jeunesse, ni pour la société.
 
Ces étapes que l’on brûle toujours plus sont symptomatiques d’une gauche qui souhaite réduire l’enfance et l’adolescence, périodes cruciales pour le développement humain, à une sorte de « pré-collège politico-social » dénué de toute innocence, de toute patience et de tout pragmatisme, étouffé par une pression toujours plus forte et émotionnelle.
 
Ne soyons pas dupes, respectons l’enfance et l’adolescence et ne brûlons pas les étapes.
Refuser le droit de vote à 16 ans sur demande n’est pas un affront ni un désaveu de notre jeunesse, seulement un acte pragmatique de respect et de prudence.

Par Niels Rosselet-Christ
Chef du groupe UDC au Grand Conseil neuchâtelois
Anc. Président des Jeunes UDC Neuchâtel
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Le Conseil d’Etat manipule les électeurs neuchâtelois avec une information partiale

1/11/2017

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Neuchâtel, le 1er novembre 2017
Communiqué de presse

Le comité interpartis en faveur des lois visant à remplacer la CCTSanté21 est scandalisé par l’attitude du Conseil d’Etat dans le cadre de la votation cantonale du 26 novembre prochain. Le Vot’Info accompagnant le matériel de vote est clairement orienté, le Gouvernement a décidé de manipuler les votants en verrouillant l’information.
 
Le Vot’Info en vue de la votation cantonale du 26 novembre est scandaleux. Ce fascicule officiel est censé amener des éléments factuels, permettant aux citoyennes et citoyens de construire leur propre avis sur une question soumise au vote. Force est de constater qu’en l’absence des arguments en faveur du oui, cet objectif n’est clairement pas atteint.
 
Institutions bafouées En effet, dans le document envoyé cette semaine aux électeurs neuchâtelois, les arguments en faveur des nouvelles lois ne sont clairement exposés nulle part et les motivations du Grand Conseil, qui les a adoptées au mois de mars 2017, dénaturées par l’emploi du conditionnel. Le Conseil d’Etat a sciemment laissé le moins de place possible aux arguments en faveur du Oui. Il est, de surcroît, répété à moult reprises que c’est le Grand Conseil dans sa composition de la précédente législature qui a approuvé ces modifications, comme si les changements de législatures devaient remettre systématiquement en question les décisions entérinées précédemment. Cette manière de procéder bafoue les institutions et la légitimité du Grand Conseil à légiférer, quelle que soit la majorité en place. 
 
Electeurs manipulés Tout aussi scandaleusement orienté, le résumé des objets soumis au vote ne permet pas aux électeurs de se forger une opinion avec des arguments étayés des deux positions. Le Conseil d’Etat, dans cette partie censée présenter objectivement les objets, parle, entre autre, de remise en cause d’un acquis du partenariat social. L’utilisation de tels termes est digne d’un tract de propagande socialiste ou syndicaliste, mais pas d’un Gouvernement dont la responsabilité est d’informer les électeurs.
 
Pas de recours mais une action au Grand Conseil Certes, la situation est particulière, puisque les référendaires sont du même bord politique et partagent les mêmes dogmes que la majorité du Conseil d’Etat. Dans pareille situation, il aurait été judicieux de laisser une place aux arguments défendus par la majorité du Grand Conseil sur ce sujet.  Il ne s’agit pas d’une question partisane, mais d’honnêteté intellectuelle. Pour sûr que les partis de gauche seraient également montés au créneau si la situation avait été inversée. Il en va du droit du citoyen à être informé correctement.  Toutefois, le comité interpartis a renoncé à recourir légalement contre ce procédé, puisque la Constitution neuchâteloise est floue en la matière et qu’il ne souhaite pas priver les électeurs de s’exprimer le 26 novembre prochain en se lançant dans de longues procédures juridiques. En revanche, une action sera menée au niveau du Grand Conseil afin que les règles régissant le contenu du Vot’Info soient clarifiées et qu’elles prévoient une disposition concernant le cas de figure dans lequel les référendaires et le Conseil d’Etat défendent la même position, afin que le positionnement du Grand Conseil puisse également être présenté et défendu équitablement.

​Contacts :
 - Damien Humbert-Droz, président du comité interpartis, 079 603 22 85
- Stephan Moser, président UDC, 079 607 92 51
​- Philippe Bauer, avocat, conseiller national, 079 437 04 17
- Anthony von Allmen, secrétaire général du PLRN, 079 767 22 68
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Votation du 26 novembre 2017 - recommandations de vote de l'UDC Neuchâtel

27/10/2017

1 Commentaire

 
CCT santé21, pourquoi voter 2 x oui le 26 novembre 2017

Mesdames, Messieurs,
 
Disons-le d’entrée, le groupe UDC souhaite que l’ensemble du personnel bénéficie d’une protection appropriée. L’UDC est également favorable à un droit à l’emploi qui se définit comme suit:
Le droit des citoyens et des résidents à n’être ni discriminés à l’embauche, ni privés de leur emploi, ni obligés à consentir à des réductions de leur salaire en raison de l’afflux indifférencié de mains-d’œuvre étrangère.
 
Pourquoi plusieurs CCT pour le personnel qui travaille au bon fonctionnement d’un hôpital, d’une clinique ou d’un home pour personnes âgées.
 
Les professions et les exigences sont différentes selon les fonctions.
Le personnel soignant est appelé à travailler de nuit comme de jour, en semaine comme le samedi ou le dimanche. Le travail du personnel soignant est contraignant, en effet ces dernières années la durée des hospitalisations à fortement diminué. Les patients qui séjournent dans les hôpitaux sont en général des cas douloureux et difficiles.
 
Le personnel administratif n’est pas astreint au travail de nuit ou de week-end. Le comptable n’effectue pas de service de piquet. Le personnel administratif bénéficie souvent d’un horaire libre.
 
Le jardinier, le cuisinier, l’électricien, n’effectuent en général pas de service de nuit et n’ont pas de contact direct avec les patients.  Il est plus facile de planifier leur emploi du temps à moyen terme.  Ce personnel à également droit à une CCT appropriée qui prend en compte leur besoins et particularités.
 
Pour le personnel soignant, une plus grande souplesse peut être exigée afin de faire face à une épidémie de grippe ou en en cas d'accidents importants (ex. accident ferroviaire).
L’émotion psychologique est nettement plus élevée dans les fonctions soignantes (ex. enfants atteints d’un cancer, patients en fin de vie),  que pour le personnel administratif ou le personnel dit de service tel que les jardiniers ou les cuisiniers.
 
Vous l’aurez compris afin d’assurer le bon fonctionnement d’un hôpital, d’une clinique ou d’un home pour personnes âgées, il faut du personnel compétent, formé, motivé et compétitif.
Pour toutes ces raisons il est opportun d’avoir 2 – 3 CCT différentes, afin de satisfaire au mieux les besoins des employés et des employeurs.
 
La CCTSanté 21 à un coût pour les contribuables du canton de Neuchâtel. Les surcoûts annuels se montent à environ 15 millions de francs.
Le déficit du canton de Neuchâtel pour 2017 est estimé à plus de 60 millions de francs.
L’augmentation moyenne des primes maladies 2018 pour le canton de Neuchâtel est 5.4%.
Pour toutes ces raisons nous vous invitons à voter 2x oui le 26 novembre 2017.

Flyer A5 1              Flyer A5 2

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Votations fédérales et cantonales du 24.09.2017

29/8/2017

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L'UDC du canton de Neuchatel vous recommande :

Votations fédérales :

OUI à l'initiative pour la sécurité alimentaire

NON à la réforme prévoyance vieillesse 2020

Votations cantonales NE :

NON au décret sur la réforme des institutions

L'UDC NE ne donne pas de consigne de vote particulière pour le projet de construction d'un nouvel hotel judiciaire (NOHJ) ainsi que pour le report de l'harmonisation de l'impot sur les frontaliers.
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Votations du 12 février 2017 - recommandations de vote de l'UDC Neuchâtel

1/2/2017

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En vue des votations fédérales du 12 février 2017, l'assemblée générale de l'UDC du canton de Neuchâtel recommande les mots d'ordre suivants :

NON à la naturalisation facilitée des étrangers de la 3e génération
plus d'informations : argumentaire_natfacnon.pdf

OUI à la création d'un fonds pour les routes nationales et pour le trafic d‘agglomération
plus d'informations :  www.forta-oui.ch​ 

OUI à la loi sur la réforme de l'imposition des entreprises (RIE III)
plus d'informations : www.steuerreform-ja.ch/fr/home

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OBJETS CANTONAUX (NE)

L'UDC Neuchâtel ne donne pas de consigne de vote sur l'initiative au sujet d'Hne ni sur le contre-projet du Conseil d'Etat
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